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Et bien, si !
Viens. Tu verras.
Il suffit de souffler sur la braise et la flamme se rallume.

En ces temps de réduction de la vie, on se sent réduit à une enveloppe corporelle, d'autant plus masquée qu'on la sait être un danger pour l'autre.
Bouffadou1
Où sont les odeurs, les gestes des sourcils, des paupières, cette présence si entière du corps, le goût de l'autre, le toucher ?
On se sent restreint
Bouffadou
On se sent réduit à un apparaître, alors qu'on voudrait être.
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Pour se mettre en relation, on apparaît en visio, alors qu'on voudrait être, en lien.
Bouffadou2
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Aujourd’hui où tout semble difficile, on peut dire que mes ateliers sont des bouffadou : ils dirigent l’air, à chaque fois, sur un point précis de la braise du foyer tel que nous le portons tous, nous dit Proust, et l’écriture redémarre, tout le temps d’un week-end, et le feu va tenir jusqu’au prochain bouffadou.
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À très bientôt !
Françoise Neveu
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